Un symposium de haut niveau sur le travail décent et l’organisation responsable d’événements dans le sport féminin est prévu le mercredi 16 juillet au siège de l’Organisation Internationale du Travail (OIT), à Genève.
Cet événement, qui coïncide avec l’UEFA Women’s EURO 2025 se tenant en Suisse, réunira des personnes de divers horizons, notamment des représentants des gouvernements, des organisations d’employeurs et de travailleurs, des associations sportives et de football, des ligues professionnelles féminines, des syndicats de joueuses, des organisateurs d’événements et de la société civile.
Selon l’OIT, il s’agit d’examiner les conditions de travail dans le sport féminin, l’égalité des genres et la sécurité, tout en mettant l’accent sur les risques liés aux grandes compétitions, le développement des ligues professionnelles et les moyens de créer un environnement juste, sûr et inclusif pour toutes les personnes concernées.
« Ensemble, les participants exploreront les tendances actuelles, partageront des idées et réfléchiront à des stratégies pour promouvoir le travail décent dans tous les domaines du sport féminin et de l’organisation d’événements », a indiqué la source.
Notons que les panels porteront sur les leçons tirées de l’organisation de l’EURO féminin 2025, les progrès en matière de normes du travail et de pratiques d’emploi dans les ligues féminines, ainsi que les mesures de lutte contre la violence et le harcèlement dans le sport. Ce symposium de haut niveau mettra en lumière des stratégies concrètes pour promouvoir le travail décent et l’organisation responsable d’événements dans l’ensemble du sport féminin.
Concernant les thématiques qui seront abordées au cours de cet événement, on trouve les droits des femmes, le travail décent et l’organisation responsable d’événements ; l’évolution des conditions de travail dans le sport féminin ; et la lutte contre la violence.
Signalons que cet événement est organisé par l’Organisation Internationale du Travail (OIT), en collaboration avec le Gouvernement suisse, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) et le Centre pour le sport et les droits humains.
TS