Signature d’un partenariat entre le CICB et l’Anapi: le bon travail de l’IGF loué par Tshisekedi au Botswana

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SIGNATURE D’UN PARTENARIAT ENTRE LE CICB ET L’ANAPI: LE BON TRAVAIL DE L’IGF LOUÉ PAR TSHISEKEDI AU BOTSWANA

Le président de la République, Felix Tshisekedi au Botswana

Le président de la République, Félix Tshisekedi, a pris part au forum économique de Gaberone, au Botswana, qui a réuni des entrepreneurs congolais et ceux du Botswana. Ces assises ont été
sanctionnées par la signature d’un partenariat entre le Centre d’investissement et de commerce du Botswana (CICB) et l’Agence nationale
pour la promotion des investissements (ANAPI).

Dans son discours de circonstance, le chef de l’État a évoqué les efforts fournis
depuis son accession à la magistrature suprême en RDC en vue d’améliorer le
climat des affaires dans le pays. Felix Tshisekedi a salué le travail abattu, sous sa
direction, par des structures spécialisées censées améliorer la gouvernance
économique dont l’Inspection Générale des Finances (IGF).


 » Ce tableau serait incomplet si je ne
mentionnais pas les efforts entrepris pour améliorer la qualité de notre gouvernance
économique par des structures spécialisées, notamment l’Inspection
générale des finances qui mène des patrouilles financières, l’Agence pour la prévention et la lutte contre la corruption, la Cellule nationale des renseignements
financiers, qui procèdent de notre ferme volonté de créer des conditions optimales pour le développement de notre
pays « , a fait remarquer Félix Tshisekedi.

Le président de la République a ajouté « qu’à cet effet, la mise en œuvre du Programme de développement local des 145 territoires que compte la République démocratique du Congo, vise à doter l’ensemble du pays d’infrastructures de base sans lesquelles l’initiative privée créatrice des richesses et moteur de développement ne peut prospérer « . L’Inspection générale des finances (IGF) ne ménage aucun effort pour lutter contre
le détournement des fonds publics et ainsi contribuer à la mobilisation des recettes. Jules Alingete est convaincu que la patrouille financière reste la clé principale de l’éradication des antivaleurs dans la gestion publique.


J-P E

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