À la Cité de l’Union africaine, Félix Tshisekedi a exigé le mardi 24 novembre 2025 un renforcement immédiat des dispositifs sécuritaires. L’Est ravagé par les groupes armés, l’Ouest secoué par le phénomène Mobondo : la République est assiégée sur deux fronts. Le Chef de l’État a martelé que la protection des populations est une priorité absolue et a instruit Défense et Intérieur de serrer les rangs.
Pendant que le ministre de la Santé annonce la fin prochaine de l’épidémie d’Ebola au Kasaï, les balles continuent de pleuvoir dans l’Est. Le projet de loi prorogeant l’état de siège a été adopté, preuve que la guerre devient la norme et la paix l’exception.
Entre menaces armées, crise sociale et instabilité politique, cette réunion restreinte sonne comme un cri d’alarme. La sécurité n’est plus un débat, c’est une survie.
J-P E


