Au cours d’une rencobtrr d’échanges, du mercredi 26 juillet 2023 à Kinshasa, l’Agence de la présidence de la République en charge de prévention et lutte contre la corruption (APLC) et la Fédération des entreprises du Congo (FEC) ont décidé d’unir les forces pour barrière, de manière efficiente, à la corruption qii gangrène la RDC.
Cette décision prise par les deux structures vise à combattre la corruption en Rdc, un des fléaux qui ternissent l’image du pays et freinent son développement.
Cogitant autour de ce sujet, l’administrateur délégué de la FEC, Kimona Bononge a plaidé pour le renforcement de l’efficacité des actions des magistrats à la suite des cas traqués par l’APLC.
« Les interventions de l’APLC sont opportunes, mais il faut qu’on mette un service spécialisé. Comme a dit le coordonnateur, on est en train de mettre de nouveaux magistrats qui vont être éduqués de manière qu’ils effectuent leur travail », a dit Kimona Bononge.
De son côté, le coordonnateur de l’APLC, Thierry Mbulamoko a salué cette initiative car, estime-t-il, elle vient de conforter le combat que mène sa structure. Il a par l’occasion dévoilé l’approche du travail entre l’APLC et la FEC dans la lutte contre la corruption : «Les échanges se sont bien déroulés et les missions ont été comprises. Il y a un cadre de collaboration qui est jeté. Il y aura un point focal APLC et un autre FEC pour dissiper tous les malentendus pour que la lutte contre la corruption soit une réalité même dans le secteur privé », a-t-il déclaré.
La mutualisation d’efforts entre l’APLC et la FEC, s’inscrit dans la logique du chef de l’Etat, Félix Tshisekedi qui, dès son accession au pouvoir, a promis d’éradiquer les antivaleurs entre autres la corruption, le détournement des deniers publics, la malversation etc. Pour ce, premier citoyen a créé l’APLC et a réactivé l’IGF (Inspection générale des Finances) en vue de réussir son combat.
Joseno Nseka