L’Asbl Synergie d’Engagement Citoyen, SEC, est lancée ce dimanche 7 avril 2024, au sein de la salle de fête panafricaine, au quartier Cité verte, dans la commune de Selembao. Cette structure repose sa vision dans l’épanouissement de l’homme congolais par la réalisation des projets en vue de lutter contre le chômage et la pauvreté, un fléau en Rdc.
Suppléant le président (empêché), le secretaire général de la SEC -et animateur de la rencontre, Alexandre Mariti Masayi a expliqué que cette jeune structure, portée par M. William Makiala, est créée à partir du constat de chômage et de la pauvreté qui gangrènent la société congolaise. « Le constat est que nous sommes dans une société où la pauvreté est criante, la jeunesse est abandonnée à elle-même, il n’y a pas assez d’espoir pour la population congolaise surtout des jeunes qui terminent les universités, le taux de chômage est criant. », a-t-il fait savoir.
De ce constat, a poursuivi Alexandre Mariti, l’initiative est partie de M. William Makiala qui a réuni des différents animateurs, en synergie, pour réfléchir sur ce qu’il fallait faire pour combattre le chômage et la pauvreté au sein de la société congolaise. « D’où, est née cette idée de promouvoir l’épanouissement de l’homme congolais en général et Kinois en particulier. », a-t-il ajouté.
S’agissant de son champ d’application, la SEC vise une extension progressive jusqu’au-delà des frontières de la Rdc. « Nous parlons en principe de l’homme en général, des Congolais en particulier. C’est-à-dire que c’est un début et nous avons des projets, par exemple à quitter Kinshasa pour Lubumbashi, Kasumbalesa et partout à travers la République, avec possibilité que nous quittons la Rdc pour d’autres pays, parce que nous sommes à la quête de l’homme. », a déclaré ce cadre de la SEC.
Il a chuté en martelant que c’est d’abord les membres de la synergie qui ont la primeur des projets qui seront accompagnés. Toutefois, il a appelé tout celui qui a un projet donné devrait s’associer à la SEC pour sa materialisation. Tout cela dans une logique de « gagnant-gagnant ».
Joseph E. Nseka
