A la tête du Fonds de Promotion de l’Industrie, il y a à peine 5 mois, le DG ai Jean-Claude Kalenga fait face à une fronde des détracteurs de la vision du Chef de l’Etat appliquée avec bravoure par ses mandataires à la tête de cette entreprise stratégique pour le développement du tissu industriel de la RDC.
Connus pour leurs assauts répétés et périodiques sans impact sur la marche du FPI, les détracteurs de Jean-Claude Kalenga sortent une fois de plus de leurs cachettes pour engager une armée numérique active dans les réseaux sociaux avec des messages destinés essentiellement à ternir l’image de marque des dirigeants du FPI et arrêter les projets du Gouvernement. Ce, au moment où le Comité de gestion dirigé par le DG a.i. est à la manœuvre pour poursuivre les efforts déployés depuis quelques années pour doter le pays d’un tissu industriel moderne et opérationnel non seulement dans la capitale, mais aussi dans les provinces où les opportunités d’investissements se font sentir. C’est ainsi que le FPI est impliqué dans des investissements innovants du secteur industriel tant au Kasaï, au Tanganyika, dans le Kongo Central… Dans son portefeuille, tous les secteurs nécessitant l’industrialisation et liés à l’amélioration du social des Congolais sont pris en compte tant dans l’énergie, les infrastructures, l’agroalimentaire, les transports…
Malgré ce déploiement sur le territoire national salué par les populations, les officines ne baissent pas les bras même s’elles ne disposent pas d’arguments solides contre les responsables de cette importante entreprise. Perdus dans de vieilles querelles stériles et nostalgiques, ils font payer au Directeur-général ad intérim du Fonds de promotion de l’Industrie, FPI, Jean-Claude Kalenga, les échecs qu’ils ont essuyé durant toutes ces années, alors qu’il n’en est pour rien dans les déboires des détracteurs du FPI.
Il en ressort, en effet, que certains «communicants» recrutés pour la besogne se disent embarrassés du fait qu’ils ne savent pas trouver des éléments de langage solides pour engager une guerre contre le DG a.i qui a à charge la mise en œuvre du Programme présidentiel d’urgence de lutte contre la pauvreté et les inégalités porté tant par des partenaires locaux qu’étrangers très avancés dans les projets.
La plus grosse surprise de cette campagne est qu’elle serait montée, selon des sources concordantes, par un ancien DG du FPI dont la gestion a été accablée dans un rapport parlementaire. La question est d’autant plus importante qu’après lui, ses successeurs se voient obligés de redresser les erreurs de gestion qu’il a laissées et qui prennent du temps à être corrigées.
C’est, en effet, sous ce mandataire défaillant que le FPI s’est retrouvé avec un important portefeuille de projets financés sans qu’ils n’aient connu le moindre début d’exécution.
Un rapport d’enquête parlementaire y relatif avait aussi révélé des nominations fantaisistes des enfants, frères, sœurs et autres cousins, la plupart sans qualification notable. Le même rapport avait révélé des bonds en grades, des agents manœuvres qui passaient sans transition à des fonctions de direction.
Comme on le voit. Les adversaires du FPI n’ont pas désarmé, mais leurs entreprises sont mises à nu et vouées à l’échec, à chaque fois qu’ils tentent de sortir de la clandestinité en instrumentalisant les réseaux sociaux, qui ne sont pas des canaux dédiés à ces genres de campagne de bas étage.
Au lieu de continuer à tirer dans le vide, les tireurs de ficelles de ces campagnes feraient œuvre utile de se repentir pour s’impliquer positivement au changement qui prend corps dans les provinces grâce aux actions du FPI libérée des pratiques obscurantistes d’autrefois.
Assurément que la justice tatillonne sur les comportements des acteurs politiques congolais ne manquera pas de passer par là pour sévir contre ces campagnes destinées à désorienter le Gouvernement dans ses actions en vue de l’amélioration du bien-être des populations grâce la modernisation de ses outils de production pour transformer localement ses immenses ressources naturelles, créer des emplois et augmenter l’enveloppe des recettes fiscales.
V.T
La rédaction