En marge du 33è anniversaire du Fonds de Promotion de l’Industrie

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Le DG a.i. Jean-Claude Kalenga invite les agents et cadres à sécuriser la Taxe de Promotion de l’Industrie

« Le FPI se porte bien » déclare son directeur général  ad intérim Jean-Claude Kalenga Makonga. L’homme qui a repris cette entreprise du Portefeuille de l’Etat après 12.053 jours, 1721 semaines, 396 mois, et 33 années comme il l’a comptabilisé, est un  de ces messieurs avec lesquels il faut compter pour une gestion rationnelle et responsable de la République démocratique du Congo. Sous sa gestion, le FPI est devenu une véritable machine à investissements dans le pays, un vrai instrument apte à appeler les partenaires étrangers à venir pour investir en  RDC. Homme de parole et d’actions, Jean-Claude Kalenga Makonga en toute modestie, sait que sa réussite et celle de son entreprise, tient à l’apport de son personnel dont l’acharnement au travail n’a d’égal que celui de renforcer sa position dans l’écosystème  industriel du Congo-Kinshasa.  Aujourd’hui le FPI, sous l’égide de Jean-Claude Kalenga Monga vogue vers des lendemains meilleurs, symbolisés par ces paroles prophétiques de son actuel numéro un : «« Une vision sans action n’est qu’une hallucination ». Sans commentaires.  

Mesdames et Messieurs les Agents et Cadres du FPI et chers collègues,

Entre le lundi 07 août 1989 et le dimanche 07 août 2022, se sont écoulés exactement 12.053 jours, 1721 semaines, 396 mois, et 33 années. En ce jour, je suis heureux de  commémorer, avec vous, le 33è anniversaire du Fonds de Promotion de l’Industrie.

Mais, permettez-moi, avant toute chose, de rendre gloire à Dieu pour cette longévité, de saluer la mémoire des initiateurs de notre cher établissement public et de vous rendre hommage, à vous le personnel du FPI, qui travaillez chaque jour à la réalisation efficiente de son objet, à sa renommée, et au renforcement de sa position dans l’écosystème économique et industriel de la RDC , en abattant quotidiennement un travail remarquable. Les saintes écritures déclarent que « quand il n’y a pas de vision, le peuple est sans frein (Proverbes 29, 18). » Un auteur célèbre a également écrit, je cite : « Une vision sans action n’est qu’une hallucination ».

La circonstance étant particulière et l’opportunité unique, je voudrais ici saluer le grand visionnaire et l’homme d’action intrépide qu’est le Chef de l’Etat, Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui, par sa vision et son action, a élargi l’espace du FPI, en tant qu’acteur et catalyseur de développement, tout en nous permettant de nouer des partenariats stratégiques à l’international, notamment en Egypte, au seul bénéfice du peuple congolais.

Sous la coordination du Premier ministre et l’engagement déterminé du ministre de l’Industrie, un Plan Directeur d’Industrialisation, ainsi qu’un Document de la Politique et des Stratégies Industrielles ont été élaborés, lesquels doivent notamment nous servir de boussole dans la priorisation de nos financements, au nombre desquels les projets industriels innovants liés à la protection de l’environnement, à la transition écologique, ainsi qu’aux nouvelles technologies.

Je note que, globalement, le FPI se porte bien. Mais nous devons continuer à améliorer nos performances, notamment en termes de niveau de financement, de recouvrement de créances et de suivi de la réalisation effective des projets industriels structurants et être plus présents aux côtés des PME. Certes, les contraintes et menaces existent et perdurent, mais nous avons les capacités de les surmonter, ou d’en atténuer les effets pervers éventuels. Pour ce faire, nous devons constamment faire preuve de plus d’intelligence, améliorer nos procédures, accélérer les réformes, travailler avec rigueur et détermination, dans l’unité et la cohésion.

Nous devons sécuriser la Taxe de Promotion de l’Industrie (TPI) mise à notre disposition par le Gouvernement pour financer le développement de l’industrie. Mais nous devons également réfléchir à de nouvelles perspectives de financement et renforcer sans cesse les capacités de notre personnel. Aucune opportunité d’aller plus loin et de mieux faire ne doit être négligée.

Pour ma part, plus que jamais, je réalise que commander, diriger, c’est d’abord servir. Je suis donc votre serviteur, le serviteur de vous tous.

C’est en cette qualité que je vous souhaite à toutes et à tous : heureux anniversaire et longue et florissante vie au FPI !

Jean-Claude KALENGA MAKONGA

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