La DG Kawanda tue les douanes congolaises
Déjà, nos services des douanes passent pour les plus onéreuses , non seulement du continent, mais aussi du monde. Et Déo Rugwiza (d’heureuse mémoire) tout comme son successeur Jean-Baptiste Kabila, ont tout fait pour redorer le blason terni de nos services douaniers en apportant des innovations acceptées aux standards internationaux. Et ne voilà-t-il pas que du jour au lendemain, sous prétexte de parité ou d’un gender mal assimilé, on s’avise de mettre à la tête de la DGDA, une femelle, bien sûr qualifiée de fille-maison, mais qui a fait sa carrière de douanière à l’extérieur du pays. Et qui de ce fait, n’avait plus des connexions suffisantes avec les réalités du pays. Et cela, en toutes les matières et notamment en celles concernant les douanes congolaises.
Aujourd’hui, ceux qui ont aidé à pistonner dame Jeanne Blandine Kawanda Walwoma, de la diaspora notamment, se mordent les doigts jusqu’au sang. Car, leur protégée n’est pas celle qu’ils croyaient. C’est-à-dire la personne qui pouvait aider le président Fatshi à remettre à flots les douanes congolaises ( qui pourtant étaient déjà sur la bonne voie) s’est révélée la plus mauvaise. Celle qui, depuis son avènement à la tête de la DGDA, enregistre les plus mauvais scores en termes des recettes.
Les statistiques en question donnent une image très peu reluisante de la DGDA depuis l’arrivée de Madame Hitler Kawanda. Les recettes de cette régie génératrice ont chuté de plus de 73%, un record depuis plus de trente ans.
Madame Kawanda est imputée à son actif, de ne pas respecter les arrêts ministériels et même les ordonnances présidentielles interdisant tout mouvement de personnel. Pourtant, et ce n’est un secret pour personne, elle a chambardé comme elle a voulu tout le personnel de la DGDA. En partant des directeurs jusqu’à la base. Et cela sur la base des critères tribaux et non de méritocratie.
Au fait, d’où vient cette dame qui veut ruiner la DGDA ? Même ceux qui dans l’entreprise, avaient des regards accueillants, ont aujourd’hui changé de visions. Ils savent que désormais, avec cette dame hitlérienne, leurs paniers de ménagères, ou du moins, ceux de leurs épouses, sont menacés. Parce qu’à la tête des douanes congolaises, déjà vouées à un bon avenir sous l’égide feu Déo Rugwiza et de son remplaçant Kabila, cheminaient sur une bonne voie. A l’opinion publique de se demander non sans raison : qu’est-ce qu’ils sont venus foutre dans ce pays des fous, tous ces diasporites ? Répondez-nous, vous de la présidence, si vous avez des c…
Kalume Ben Atar