Comment éviter des violences
L’envahissement des Yakas dans le territoire de Mai-Ndombe n’est pas d’aujourd’hui ; elle date de longtemps, depuis des années. Les Yakas sont entrés en nombre dans ce coin en commençant par les champs ; et ils se sont emparés de plusieurs coins du plateau des Batekes vers le Kwamouthjusqu’à déranger les riverains des rivières Wamba, Kwango.
C’est connu que la population Kwangolaise s’y est avec des chefs des villages qui dirigent au même moment que les autochtones du plateau et d’ailleurs. Tellement qu’ils soient répandus, ils ont nommés les villages trouvés ou des endroits occupée par des noms yakas. C’est ainsi que les autochtones montent aux créneaux pour éviter l’envahissement du territoire.
Ainsi les Teke se sont démontrés en tant qu’autochtones de Kwamouth dans la province du Maï-Ndombe. Ils ont commencé à chasser les populations non autochtones, principalement les Yaka. Des affrontements ont occasionné plusieurs dégâts matériels, selon l’administrateur de ce territoire, qui relate les faits, en appelant au calme.
Des violentes altercations sont signalées entre ces deux communautés dans le groupement Bateke Sud, territoire de Kwamouth. Ces vives tensions, selon des sources concordantes, sont perceptibles dans plusieurs coins où se retrouvent les non autochtones.
Des maisons sont incendiées, des boutiques et biens de valeurs pillés. Et toute personne qui n’est pas de la tribu teke, ne doit obligatoirement quitter le territoire. Plusieurs blessés sont aussi enregistrés, ont poursuivi les mêmes sources.
Selon l’autorité de ce territoire, ce conflit est cause des redevances coutumières. Ils avaient signé des conventions qu’ils devaient donner un sac de maïs a la récolté. Les chefs coutumiers tekes, maintenant, ils ne veulent plus respecter cette convention. Ils sont allés au quintuple.
Alors, les exploitants manifestent leur mécontentement. « C’est comme ça que les Tekes se sont révoltés pour saccager les non originaires », a-t-il poursuivi, demandant « à la population teke de ne pas vexer tout le monde. Chacun est libre de vivre partout où il veut comme le dit la constitution. »
Ebondo Kabamba Elie